Evaluation / Prix : Louis IX, dit Saint Louis, avait racheté en 1237 une partie des reliques de la Passion à l'empereur latin de Constantinople. La Sainte-Chapelle est construite pour recevoir la couronne d'épines rachetée à Jean de Brienne. Elle reçoit des reliques insignes comprenant un morceau de la lance de longinus. A la suite d'une tractation avec l'empereur latin de Constantinople Baudoin II, Louis IX a racheté d'autres reliques que les empereurs byzantins ont conservées dans la Sainte-Chapelle du palais du Boucoléon. L'écrin étant la sainte chapelle, ces reliques ne sont pas données, et vous comprendrez que celle-ci suit la règle. Un Milliardaire Russe proche de l'Ambassade Russe de Paris aurait fait une proposition par l'intermédiaire de la société de production de Noël Dubus Delarosa, de 10 Millions d'Euros, pour l'offrir au Pape François.(voir EXECUTIVE VISIONS EUROPE). Cette même société voulait la tête d'Aphrodite de Praxitèle pour le Musée du Louvre.

Il existe aujourd'hui trois reliques qui passent pour la Sainte Lance :

La Sainte Lance de Saint-Pierre de Rome, au Vatican (elle n'a rien de romain, et les Papes successifs la présente comme un Fac-similé, sans la revendiquer comme une relique.)

La Lance (en arménien Geghard) d'Etchmiadzine en Arménie (étendard plutôt que lance, et incapable de percer le flanc de quiconque)

La Lance de Saint Maurice à Vienne en Autriche qui serait aujourd'hui dans la Trésorerie d'Hofburg, et qui est représentée ci-dessous à gauche. (dont Charlemagne et Frédéric II Barberousse en ont été les propriétaires. Elle n'a pas permis l'instauration des 1000 ans du 3ème Reich comme le prétendait Hitler, donc elle n'est pas bonne) . Il semblerait que la lance d'Hofburg ne soit pas celle de Charlemagne, car le pommeau de la joyeuse mesurait 44 cm, et contenait une lance intacte.

(La Sainte Lance de Cracovie (Pologne) est une copie de celle de Vienne)

Le pèlerin Antoine de Plaisance qui décrit les lieux saints en 570 rapporte avoir vu à la Basilique du Mont Sion "la couronne d'épines dont Notre Seigneur fut couronné et la lance avec laquelle il fut frappé au côté." Un autre document de la même époque mentionne la présence de la Lance dans la Basilique de la Résurrection (Saint-Sépulcre). D'autres auteurs comme Cassiodore (In Ps. lxxxvi, Patrologia Latina LXX, 621) ou encore Grégoire de Tours évoquent la présence à Jéruralem de cette Lance, mais sans l'avoir eux-mêmes vue.

Selon le Chronicon Paschale, en 615, année de la prise de Jérusalem par les Perses, la pointe de la Sainte Lance fut brisée et remise par un officier perse au patrice Nicetas, qui la rapporta à Constantinople et la déposa dans l'Église Sainte Sophie.

Après avoir échappé au sac de Constantinople en 1204 (4ème croisade), elle fut revendue en 1244 par Baudouin II, empereur latin de Constantinople, à Louis IX (Saint Louis) de France et transportée à Paris. Le roi la déposa dans la Sainte Chapelle à côté de la Couronne d'Épines. Elle y serait restée jusqu‘à la Révolution et aurait été brièvement déposée à la Bibliothèque Nationale de Paris avant de disparaître.

Cette multiplicité des saintes lances n'a rien qui puisse surprendre car les reliques concurrentes étaient monnaie courante au Moyen Âge, chacun affirmant posséder la vraie. Il était d'autre part fréquent de multiplier les reliques en en faisant réaliser des copies tout à fait officielles, dans lesquelles on insérait un petit échantillon prélevé sur l'original : ce fragment communiquait sa puissance à l'ensemble de l'objet qui était, à bon droit, considéré comme une relique authentique.

C'est pourquoi, et pour la cause citée dans le tableau en fin de page, toutes ces lances sont disqualifiées, ce qui laisse à la lance ci-dessous et à droite du calvaire, toutes ses chances. Le prix que vous m'en proposerez sera une bonne indication du degré de croyance et de votre foi en la vraie lance. Si vous avez un doute ne faites rien et si vous n'en avez pas, surtout ne faites pas comme Hitler. Je vous rappelle que Saint-Louis était un très bon acheteur. C'est article est indispensable pour contrer un lancer de djihad "guerre sainte", ou pour se rendre à Castelgandolfo dans les réunions de Croisés et d'Islamistes .

LANCE ROMAINE 1er siècle, Bronze, 40cm de long, 4cm large

Gravée CASSIUS GAIUS LONGINUS CHRISTUS REX écriture difficilement lisible. (dans ce texte les V sont remplacés par des U pour la compréhension

Nous garantissons la lance authentique d'époque romaine et vendue par les experts parisiens Slitine et Pierre Laporte le 17-10-1987 à Avignon, à l'Hotel des Ventes, lot 89 "Pointe de lance romaine en bronze". Les pointes de lance était courante au Louristan mais au 2ème millénaire avant notre ère, depuis elles sont devenues en fer.

Cette lance en Bronze provient vraisemblablement de la manufacture d'armes de bronze d'AREZZO en ETRURIE (ITALIE) (examen au spectromètre de masse concluant), qui fournissait les légions et en particulier la LEGIO XII Fulminata, stationnée à Jérusalem dans la forteresse Antonia près du Temple. Cette manufacture d'armes de bronze a fonctionné jusque dans les années 40 de notre ère.A l'époque le Bronze, provenant des mines Etrusques, était plus facile à travailler et moins cher que le fer. Les romains avaient de petits burins pour graver leurs noms sur leurs affaires, et le fait que cette lance ait été gravée suite à un évènement important, est tout a fait probable. D'autant plus, que la gravure en creux a presque totalement disparue, et que l'expert (Chakib SLITINE) en vendant cette lance, ne s'est pas apperçu du texte gravé, (visible par la technique de la tomodensitographie des métaux ou tomographie scanographie par rayons X des métaux, réalisé avec le CNRS).

Selon la légende, la lance fut dérobée aux descendants de Longinus par l'Empereur Maximien en 287, puis déposée à Constantinople. Après la prise de la ville en 443, elle échoue entre les mains d'Attila. En sa possession, celui-ci ravagea l'Europe de l'Est et atteignit les portes de Rome en 452. Les Huns, en la personne d'Attila abandonnèrent la Lance à la cité romaine, dans les mains de Léon 1er, dit Léon le Grand. Ce dernier aurait repoussé les Huns par ses prodiges, notamment en faisant appel à Saint Pierre dont la tête est apparue au dessus de la sienne, en sustentation. Ce même Léon était dans la région d'Arles à l'âge de 20 ans, soit en 420, et entre 420 et 440, date de sa nomination à Rome comme Pape, il aurait porté une attention particulière à l'Eglise Antique de Saint Bauzille de Montmel, jusqu'à bénir cet endroit dénommé depuis toujours Pic Saint Léon, et aurait déclaré Sainte et Sacrée, cette Eglise des premiers Chrétiens qui ont débarqués aux Saintes Maries de la Mer, en l'an 30 de notre ère. L'Eglise de Rome à l'époque n'était qu'un petit temple paën, consacré à Jupiter, avec un mithraeum, dédié à Mithra, puis investi par les Chrétiens, et en Juin 2018 Emmanuel MACRON-JUPITER devient chanoine du Latran.

La basilique Saint-Jean-de-Latran (San Giovanni in Laterano) est l'une des quatre basiliques majeures de Rome, édifiée sur le mont Latran. Son titre exact est basilique du Très-Saint-Sauveur et des saints Jean Baptiste et Jean l'Evangéliste, au Latran.

Premier édifice monumental chrétien construit en Occident, à partir de 320, elle est l'église cathédrale de l'évêque de Rome, le pape. Tout comme le palais du Latran qui lui est contigu, elle est la propriété du Saint-Siège et bénéficie à ce titre du privilège d'extraterritorialité. Elle est considérée comme la « mère » en ancienneté et dignité de toutes les églises de Rome et du monde. Elle porte le titre, inscrit sur le fronton, de « omnium urbis et orbis ecclesiarum mater et caput », qui signifie « mère et tête de toutes les églises de la ville et du monde ». Bien qu'elle soit en réalité au mieux la 9ème, derrière les 7 Eglises Antiques de Turquie, et la 8ème celle de Saint Bauzille de Montmel au Pic Saint Léon le Grand.

Première église à être publiquement consacrée — le 9 novembre 324 par le pape Sylvestre Ier — elle prit progressivement (à partir du XIIe siècle) le nom de basilique Saint-Jean par association à son important baptistère voisin, dédié à saint Jean-Baptiste, le plus ancien de Rome.

Pendant plus de dix siècles, les papes (évêques de Rome) résidèrent dans le palais du Latran voisin. Dans les murs de la basilique se réunirent plus de 250 conciles, dont les cinq conciles œcuméniques du Latran.

Ses immenses portes d'entrée en bronze proviennent de la Curie Julia, réinstallées là au milieu du XVIIème siècle.

Hitler et le Général Patton, furent tout aussi désireux d'acquérir la lance, dont on dit qu'elle confère d'impressionnants pouvoirs à son porteur. Hitler désirait l'acquérir en tant que Franc-Maçon.

En 1938, trois jours après l’annexion de l’Autriche par l’Allemagne, Hitler choisit le lieu qui abritait la Sainte Lance, le Musée Hofburg, pour faire son allocution au peuple autrichien. Le fruit du hasard ? L’intérêt d’Hitler envers les artéfacts et reliques des saints est bien connu. Une de ses premières décisions fut d’ordonner aux SS de s’emparer de la lance. Celle-ci fut transférée à Nuremberg, dans l’église Sainte-Catherine. Elle y demeura jusqu’en 1944, où, pour la protéger des bombardements alliés, elle fut entreposée dans une crypte secrète construite sous l’église. La "vraie lance" se trouverait actuellement en Allemagne dans la Trésorerie d'Hofburg. La troisième photo correspondrait à "la vraie lance" (mais pas celle de Charlemagne), qui n’a heureusement pas porté chance au 3ème Reich.

ROMAN OBJECTS

ROMAN LANCE 1st century, Bronze, 40cm of length, 4cm wide
Engraved CASSIUS GAIUS LONGINUS CHRISTUS REX with difficulty legible writing. (V in this text are replaced by U for understanding)
We guarantee the authenticity of the lance , period Roman and sold by the Parisian expert Slitine.

This bronze lance results credibly from the bronze weapon factory of AREZZO in ETRURIE ( Italy) (examination of the mass spectrometer concluded), who supplied legions and in particular LEGIO XII Fulminata, parked in Jerusalem in the Antonia fortress near the Temple. This bronze weapon factory worked to the 40s AD. At this period, the Bronze, resulting from Etruscan mines, was easier to work and cheaper than iron. The Roman had small burins to engrave their names on their cases, and the fact that this lance was engraved further to an important event, is everything made likely. Especially, the gravure has almost completely disappeared, and the expert (Chakib Slitine) by selling the spear, did not preview the text engraved, (visible by the technique of positron CT scan metals or X-ray CT metals, made ​​with CNRS).

2000 years ago...

The Captain of the Jews who rose, with his troop, had received for mission to break the members three crucified before the Sabbath. As symbol of his mandate, he carried proudly the lance of Hérode Antipas. Magic symbol of the Monarchy, this lance created by Phinée was a Powerful talisman. Giving to a usurped monarchy, an illusion of power. Demoralized by this butcher's shop, the Roman soldiers turned the back demoralizing him spectacle. Except Cassius Gaius, the Centurion. Taken by an immense pity for the man who was called Jesus Bar Anas, he pierced him the side of his own lance, disdaining that of the Jews. The blood and the water which went out of the side of the Christ cured him of the cataract from which it suffered. In thanking of its condolence. We called him henceforth Longinus and his Lance became one of the most invaluable relics of the Christendom. Jesus Bar Abbas which escaped the crucifixion was only a thief Zélote, a bandit taken during a rebellion and an assassin. Not of what to save the Jewish people more than the other one in case of return of the Christ II. And as our good royal coins informs to us: the Christ overcomes, the Christ reigns, the Christ commands. Our politics and our corrupt civil servants have has to worry. Others if it stays there, will really have to put themselves in the service of the common good.

According to the legend, the lance was stolen from the descendants of Longinus by the Emperor Maximien in 287, then put down in Constantinople. After the grip of the city in 443, she fails in the hands of Attila. In his ownership, this one ravaged the Eastern Europe and reached the doors of Rome in 452. Huns, in the person of Attila abandoned the Lance in the Roman town, in the hands of Léon 1st, says Léon le Grand. This last one would have pushed away Huns by its miracles, notably by appealing to Saint Pierre whose head appeared above his, in lift.

Hitler and the General Patton, were also avid to acquire the lance, about which we say that she confers impressive powers on her carrier.

In 1938, three days after the annexation of Austria by Germany, Hitler chooses the place which sheltered the Holy Lance, the Hofburg museum, to make its short speech to the Austrian people. The fruit of the fate? Hitler's interest to artéfacts and relics of the saints is well known. One of its first decisions was to order in SS to seize the lance. This one was transferred in Nuremberg, in the church saint-Catherine. She lived there until 1944, when, to protect her from allied bombardments, she was stored in a Secret crypt built under the church. The "true lance" would be at present in Germany in the Finance of Hofburg. The third photo would correspond to the "true lance" (but not that of Charlemagne), which fortunately carried luck to the 3rd Reich.